mardi 29 novembre 2011

Atelier d'écriture



Nous avons le plaisir de vous inviter à venir participer à l’atelier d’écriture le vendredi 2 décembre à 20h à l’Institut français de Podgorica qui, à cette occasion, deviendra le célèbre Cabaret Voltaire, lieu de rencontre des dadaïstes. Cet atelier sera animé par Jovana Slijepčević et sera placé sous le signe de l’écriture du RIEN. N’oubliez pas qu’un « Dada lui ne sent rien, il n'est rien, rien, rien » et venez nombreux !

dimanche 20 novembre 2011

L’initiation d’après Camara Laye

Ce qui était propre à beaucoup de sociétés préindustrielles traditionnelles africaines, c’était le rite de l’initiation ; d'ailleurs, il se pratique encore dans l'Afrique d’aujourd’hui, surtout dans la région subsaharienne. Il représente le passage des jeunes filles et garçons vers le rang d’adulte. L’initiation est donc une forme particulière de "rite de passage“ qui joue un rôle social majeur ; la participation collective à ce rite était obligatoire pour tous les jeunes. 

Le premier roman de Camara Laye, L’Enfant noir, évoque et valorise les rites et les traditions africains. En nous dévoilant de nombreux épisodes de sa vie, l’auteur nous dévoile aussi celui de l’initiation. Camara Laye (ou Kamara Aboulaye) est un écrivain guinéen né en 1928 à Kouroussa et mort en 1980 à Dakar. La société traditionnelle guinéenne, la religion musulmane et l’éducation française se côtoyaient dans sa vie. Dès sa jeunesse, il s’est passionné pour l’étude du français. À Paris, il s'est épanoui comme écrivain et, en 1953, il a publié son célèbre L’Enfant noir

samedi 19 novembre 2011

À propos de la littérature numérique

Deux écrivains français, Frédéric Beigbeder et François Bon, confrontent leurs convictions sur l'avenir numérique de la littérature...

            

Notes sur LES FAUX-MONNAYEURS DE GIDE ET SON INNOVATION DE LA TECHNIQUE NARRATIVE

-Ce roman, publié partiellement dans la Nouvelle Revue française (de mars à juin 1925) et en volume chez Gallimard (la même année), constitue pour Gide une sorte de testament littéraire. Il s’agit, de l’aveu même de l’auteur, du seul „roman“ qu’il ait composé, ses ouvrages de fiction étant des „récits“ ou des „soties“.

samedi 5 novembre 2011

Prix littéraires 2011

Mathieu Lindon a été consacré vendredi 4 novembre par le Prix Médicis 2011 pour son roman Ce qu'aimer veut dire (P.O.L), un roman-hommage au philosophe Michel Foucault, au professeur de liberté, qui lui prêtait son appartement pendant ses longues absences qui, sans y toucher, l'a sans doute beaucoup plus guidé et aidé qu'il n'en eut alors conscience. Par la grâce du talent évocateur de l'auteur ce sont six années de sa jeunesse qu'il nous restitue. Parallèlement à la figure de Michel Foucault est aussi tracée celle de Jérôme Lindon, le père. Et de Samuel Beckett le bienveillant, et de Robbe-Grillet, Hervé Guibert, tant d'autres anonymes ou connus.  Dans la sélection des romans étrangers, c'est l'écrivain israélien David Grossman qui remporte le Prix Médicis étranger pour Une femme fuyant l'annonce (Le Seuil). Ce roman raconte l'histoire d'une femme de Jérusalem nommée Ora, qui fuit son foyer pour éviter le pire: l'annonce de la mort de son fils Ofer, parti en "opération" alors qu'il achevait son service militaire. Le Prix Médicis essai a été attribué à Sylvain Tesson pour Dans les forêts de Sibérie, dans lequel il retrace ses six mois d'isolement volontaire sur les bords du lac Baïkal.

jeudi 3 novembre 2011

Atelier d'écriture

Nous avons le plaisir de vous inviter à participer à l'atelier d'écriture qui aura lieu à l'Institut français de Podgorica le vendredi 4 novembre à 20h. Cet atelier sera consacré aux écrits de voyage et sera animé par Jovana Slijepčević. Venez nombreux !